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Sinfonia Hungarica : 1. Attila / ROOST (VAN DER), Jan (1956-)
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Titre : Sinfonia Hungarica : 1. Attila Titre traduit : Symphonie Hongroise : 1. Attila Type de document : Oeuvre sur CD Auteurs : Jan ROOST (VAN DER) (1956-), Compositeur ; Alex SCHILLINGS (1957-), Chef d'orchestre Orchestre : Orchestre d'harmonie ; 1 Importance : 1 plage Mots-clés : 21E SIECLE
HISTOIRE
HONGRIE
MUSIQUE A PROGRAMME
OEUVRE ORIGINALE
SYMPHONIERésumé : Cette symphonie en trois mouvements relate l'histoire de la Hongrie. L'ensemble des trois mouvements s'inspire de la vie de personnages historiques clés, de guerres et d'autres évènements de grande importance qui ont marqué l'histoire de ce pays. Sinfonia Hungarica célèbre le millénaire de la fondation de l'état hongrois (1001-2001). L'œuvre a été donnée en création mondiale le 31 mars 2001 à Budapest par l'orchestre d'harmonie de Kiskunfélegyhaza placé sous la direction du compositeur. ATTILA, roi des Huns, surnommé fléau de Dieu est la personnage central du premier mouvement où règne un atmosphère de peur, de menace, d'agression et de cruauté. Buda, le frère d'Attila, est associé à un thème aux accents plus héroîques, tandis que Rika, l'épouse bien-aimée du roi des Huns, est représentée par une mélodie lyrique. La fin trépidente de ce mouvement d'ouverture illustre l'effroyable rapidité avec laquelle les troupes d'Attila poursuivaient et tuaient toutes leurs victimes. Le deuxième mouvement est centré sur ARPAD, le fondateur de l'état hongrois. Un pasage limpide et aérien ouvre ce mouvement évoquant Emese, la grand-mère d'Arpad, qui vit en rêve sa destinée future. Après avoir livré bataille contre l'un de ses opposants, le prince bulgare Zalan, et l'avoir chassé des terres magyares, Arpad donne officiellement au territoire le nom de Magyarorszag. Le troisième et dernier mouvement de la symphonie porte le nom de celui qui convertit le pays au christianisme : Etienne Ier (ISTVAN), sacré Roi de Hongrie le 1er janvier 1001 par le Pape Sylvestre II. Les mesures d'ouverture, solennelles et majestueuses, mènent à un passage dont l'atmosphère belliqueuse s'intensifie pour s'achever en de violents fracas symbolisant la mort atroce de Koppany, un paîen, dont le corps fut découpé enquattre parties expédiées aux quatre coins du pays pour servir d'exemple. Un intermezzo serein, presque religieux, laisse ensuite la place à l'hymne national de la Hongrie. Ce finale grandiose aux sonorités amples possède également une signification symbolique : après ces dix siècles d'histoire, la Hongrie a de nombreuses raisons de contempler son passé avec fièrté et d'envisager l'avenir avec confiance et optimisme. Le superbe thème de l'hymne national apparait en fait tout au long de la symphonie, souvent partiellement ou complètement masqué. Il est le fil conducteur de l'œuvre ; un fil conducteur que l'on discerne à peine au début mais qui se dévoile de plus en plus vers la fin de la symphonie pour former le finale en apothéose où l'orchestre d'harmonie prend toute la majesté d'un grand orgue. (souce : livret) Enregistrement : type de formation : Enregistrement pour Orchestre d'harmonie Durée : 00:12:43 Référence éditeur : DHR04.012-3 Permalink : https://www.windmusic.org/index.php?lvl=notice_display&id=66655 Sinfonia Hungarica : 1. Attila = Symphonie Hongroise : 1. Attila [Oeuvre sur CD] / Jan ROOST (VAN DER) (1956-), Compositeur ; Alex SCHILLINGS (1957-), Chef d'orchestre . - [s.d.] . - 1 plage.
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Mots-clés : 21E SIECLE
HISTOIRE
HONGRIE
MUSIQUE A PROGRAMME
OEUVRE ORIGINALE
SYMPHONIERésumé : Cette symphonie en trois mouvements relate l'histoire de la Hongrie. L'ensemble des trois mouvements s'inspire de la vie de personnages historiques clés, de guerres et d'autres évènements de grande importance qui ont marqué l'histoire de ce pays. Sinfonia Hungarica célèbre le millénaire de la fondation de l'état hongrois (1001-2001). L'œuvre a été donnée en création mondiale le 31 mars 2001 à Budapest par l'orchestre d'harmonie de Kiskunfélegyhaza placé sous la direction du compositeur. ATTILA, roi des Huns, surnommé fléau de Dieu est la personnage central du premier mouvement où règne un atmosphère de peur, de menace, d'agression et de cruauté. Buda, le frère d'Attila, est associé à un thème aux accents plus héroîques, tandis que Rika, l'épouse bien-aimée du roi des Huns, est représentée par une mélodie lyrique. La fin trépidente de ce mouvement d'ouverture illustre l'effroyable rapidité avec laquelle les troupes d'Attila poursuivaient et tuaient toutes leurs victimes. Le deuxième mouvement est centré sur ARPAD, le fondateur de l'état hongrois. Un pasage limpide et aérien ouvre ce mouvement évoquant Emese, la grand-mère d'Arpad, qui vit en rêve sa destinée future. Après avoir livré bataille contre l'un de ses opposants, le prince bulgare Zalan, et l'avoir chassé des terres magyares, Arpad donne officiellement au territoire le nom de Magyarorszag. Le troisième et dernier mouvement de la symphonie porte le nom de celui qui convertit le pays au christianisme : Etienne Ier (ISTVAN), sacré Roi de Hongrie le 1er janvier 1001 par le Pape Sylvestre II. Les mesures d'ouverture, solennelles et majestueuses, mènent à un passage dont l'atmosphère belliqueuse s'intensifie pour s'achever en de violents fracas symbolisant la mort atroce de Koppany, un paîen, dont le corps fut découpé enquattre parties expédiées aux quatre coins du pays pour servir d'exemple. Un intermezzo serein, presque religieux, laisse ensuite la place à l'hymne national de la Hongrie. Ce finale grandiose aux sonorités amples possède également une signification symbolique : après ces dix siècles d'histoire, la Hongrie a de nombreuses raisons de contempler son passé avec fièrté et d'envisager l'avenir avec confiance et optimisme. Le superbe thème de l'hymne national apparait en fait tout au long de la symphonie, souvent partiellement ou complètement masqué. Il est le fil conducteur de l'œuvre ; un fil conducteur que l'on discerne à peine au début mais qui se dévoile de plus en plus vers la fin de la symphonie pour former le finale en apothéose où l'orchestre d'harmonie prend toute la majesté d'un grand orgue. (souce : livret) Enregistrement : type de formation : Enregistrement pour Orchestre d'harmonie Durée : 00:12:43 Référence éditeur : DHR04.012-3 Permalink : https://www.windmusic.org/index.php?lvl=notice_display&id=66655 Sinfonia Hungarica : 2. Arpad / ROOST (VAN DER), Jan (1956-)
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Titre : Sinfonia Hungarica : 2. Arpad Titre traduit : Symphonie hongroise : 2. Arpad Type de document : Oeuvre sur CD Auteurs : Jan ROOST (VAN DER) (1956-), Compositeur ; Alex SCHILLINGS (1957-), Chef d'orchestre Orchestre : Orchestre d'harmonie ; 1 Importance : 1 plage Mots-clés : 21E SIECLE
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SYMPHONIERésumé : Cette symphonie en trois mouvements relate l'histoire de la Hongrie. L'ensemble des trois mouvements s'inspire de la vie de personnages historiques clés, de guerres et d'autres évènements de grande importance qui ont marqué l'histoire de ce pays. Sinfonia Hungarica célèbre le millénaire de la fondation de l'état hongrois (1001-2001). L'œuvre a été donnée en création mondiale le 31 mars 2001 à Budapest par l'orchestre d'harmonie de Kiskunfélegyhaza placé sous la direction du compositeur. ATTILA, roi des Huns, surnommé fléau de Dieu est la personnage central du premier mouvement où règne un atmosphère de peur, de menace, d'agression et de cruauté. Buda, le frère d'Attila, est associé à un thème aux accents plus héroîques, tandis que Rika, l'épouse bien-aimée du roi des Huns, est représentée par une mélodie lyrique. La fin trépidente de ce mouvement d'ouverture illustre l'effroyable rapidité avec laquelle les troupes d'Attila poursuivaient et tuaient toutes leurs victimes. Le deuxième mouvement est centré sur ARPAD, le fondateur de l'état hongrois. Un pasage limpide et aérien ouvre ce mouvement évoquant Emese, la grand-mère d'Arpad, qui vit en rêve sa destinée future. Après avoir livré bataille contre l'un de ses opposants, le prince bulgare Zalan, et l'avoir chassé des terres magyares, Arpad donne officiellement au territoire le nom de Magyarorszag. Le troisième et dernier mouvement de la symphonie porte le nom de celui qui convertit le pays au christianisme : Etienne Ier (ISTVAN), sacré Roi de Hongrie le 1er janvier 1001 par le Pape Sylvestre II. Les mesures d'ouverture, solennelles et majestueuses, mènent à un passage dont l'atmosphère belliqueuse s'intensifie pour s'achever en de violents fracas symbolisant la mort atroce de Koppany, un paîen, dont le corps fut découpé enquattre parties expédiées aux quatre coins du pays pour servir d'exemple. Un intermezzo serein, presque religieux, laisse ensuite la place à l'hymne national de la Hongrie. Ce finale grandiose aux sonorités amples possède également une signification symbolique : après ces dix siècles d'histoire, la Hongrie a de nombreuses raisons de contempler son passé avec fièrté et d'envisager l'avenir avec confiance et optimisme. Le superbe thème de l'hymne national apparait en fait tout au long de la symphonie, souvent partiellement ou complètement masqué. Il est le fil conducteur de l'œuvre ; un fil conducteur que l'on discerne à peine au début mais qui se dévoile de plus en plus vers la fin de la symphonie pour former le finale en apothéose où l'orchestre d'harmonie prend toute la majesté d'un grand orgue. (souce : livret) Enregistrement : type de formation : Enregistrement pour Orchestre d'harmonie Durée : 00:11:11 Référence éditeur : DHR04.012-3 Permalink : https://www.windmusic.org/index.php?lvl=notice_display&id=66668 Sinfonia Hungarica : 2. Arpad = Symphonie hongroise : 2. Arpad [Oeuvre sur CD] / Jan ROOST (VAN DER) (1956-), Compositeur ; Alex SCHILLINGS (1957-), Chef d'orchestre . - [s.d.] . - 1 plage.
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SYMPHONIERésumé : Cette symphonie en trois mouvements relate l'histoire de la Hongrie. L'ensemble des trois mouvements s'inspire de la vie de personnages historiques clés, de guerres et d'autres évènements de grande importance qui ont marqué l'histoire de ce pays. Sinfonia Hungarica célèbre le millénaire de la fondation de l'état hongrois (1001-2001). L'œuvre a été donnée en création mondiale le 31 mars 2001 à Budapest par l'orchestre d'harmonie de Kiskunfélegyhaza placé sous la direction du compositeur. ATTILA, roi des Huns, surnommé fléau de Dieu est la personnage central du premier mouvement où règne un atmosphère de peur, de menace, d'agression et de cruauté. Buda, le frère d'Attila, est associé à un thème aux accents plus héroîques, tandis que Rika, l'épouse bien-aimée du roi des Huns, est représentée par une mélodie lyrique. La fin trépidente de ce mouvement d'ouverture illustre l'effroyable rapidité avec laquelle les troupes d'Attila poursuivaient et tuaient toutes leurs victimes. Le deuxième mouvement est centré sur ARPAD, le fondateur de l'état hongrois. Un pasage limpide et aérien ouvre ce mouvement évoquant Emese, la grand-mère d'Arpad, qui vit en rêve sa destinée future. Après avoir livré bataille contre l'un de ses opposants, le prince bulgare Zalan, et l'avoir chassé des terres magyares, Arpad donne officiellement au territoire le nom de Magyarorszag. Le troisième et dernier mouvement de la symphonie porte le nom de celui qui convertit le pays au christianisme : Etienne Ier (ISTVAN), sacré Roi de Hongrie le 1er janvier 1001 par le Pape Sylvestre II. Les mesures d'ouverture, solennelles et majestueuses, mènent à un passage dont l'atmosphère belliqueuse s'intensifie pour s'achever en de violents fracas symbolisant la mort atroce de Koppany, un paîen, dont le corps fut découpé enquattre parties expédiées aux quatre coins du pays pour servir d'exemple. Un intermezzo serein, presque religieux, laisse ensuite la place à l'hymne national de la Hongrie. Ce finale grandiose aux sonorités amples possède également une signification symbolique : après ces dix siècles d'histoire, la Hongrie a de nombreuses raisons de contempler son passé avec fièrté et d'envisager l'avenir avec confiance et optimisme. Le superbe thème de l'hymne national apparait en fait tout au long de la symphonie, souvent partiellement ou complètement masqué. Il est le fil conducteur de l'œuvre ; un fil conducteur que l'on discerne à peine au début mais qui se dévoile de plus en plus vers la fin de la symphonie pour former le finale en apothéose où l'orchestre d'harmonie prend toute la majesté d'un grand orgue. (souce : livret) Enregistrement : type de formation : Enregistrement pour Orchestre d'harmonie Durée : 00:11:11 Référence éditeur : DHR04.012-3 Permalink : https://www.windmusic.org/index.php?lvl=notice_display&id=66668 Sinfonia Hungarica : 3. Istvan / ROOST (VAN DER), Jan (1956-)
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Titre : Sinfonia Hungarica : 3. Istvan Titre traduit : Symphonie hongroise : 3. Istvan Type de document : Oeuvre sur CD Auteurs : Jan ROOST (VAN DER) (1956-), Compositeur ; Alex SCHILLINGS (1957-), Chef d'orchestre Orchestre : Orchestre d'harmonie ; 1 Importance : 1 plage Mots-clés : 21E SIECLE
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MUSIQUE A PROGRAMME
OEUVRE ORIGINALE
SYMPHONIERésumé : Cette symphonie en trois mouvements relate l'histoire de la Hongrie. L'ensemble des trois mouvements s'inspire de la vie de personnages historiques clés, de guerres et d'autres évènements de grande importance qui ont marqué l'histoire de ce pays. Sinfonia Hungarica célèbre le millénaire de la fondation de l'état hongrois (1001-2001). L'œuvre a été donnée en création mondiale le 31 mars 2001 à Budapest par l'orchestre d'harmonie de Kiskunfélegyhaza placé sous la direction du compositeur. ATTILA, roi des Huns, surnommé fléau de Dieu est la personnage central du premier mouvement où règne un atmosphère de peur, de menace, d'agression et de cruauté. Buda, le frère d'Attila, est associé à un thème aux accents plus héroîques, tandis que Rika, l'épouse bien-aimée du roi des Huns, est représentée par une mélodie lyrique. La fin trépidente de ce mouvement d'ouverture illustre l'effroyable rapidité avec laquelle les troupes d'Attila poursuivaient et tuaient toutes leurs victimes. Le deuxième mouvement est centré sur ARPAD, le fondateur de l'état hongrois. Un pasage limpide et aérien ouvre ce mouvement évoquant Emese, la grand-mère d'Arpad, qui vit en rêve sa destinée future. Après avoir livré bataille contre l'un de ses opposants, le prince bulgare Zalan, et l'avoir chassé des terres magyares, Arpad donne officiellement au territoire le nom de Magyarorszag. Le troisième et dernier mouvement de la symphonie porte le nom de celui qui convertit le pays au christianisme : Etienne Ier (ISTVAN), sacré Roi de Hongrie le 1er janvier 1001 par le Pape Sylvestre II. Les mesures d'ouverture, solennelles et majestueuses, mènent à un passage dont l'atmosphère belliqueuse s'intensifie pour s'achever en de violents fracas symbolisant la mort atroce de Koppany, un paîen, dont le corps fut découpé enquattre parties expédiées aux quatre coins du pays pour servir d'exemple. Un intermezzo serein, presque religieux, laisse ensuite la place à l'hymne national de la Hongrie. Ce finale grandiose aux sonorités amples possède également une signification symbolique : après ces dix siècles d'histoire, la Hongrie a de nombreuses raisons de contempler son passé avec fièrté et d'envisager l'avenir avec confiance et optimisme. Le superbe thème de l'hymne national apparait en fait tout au long de la symphonie, souvent partiellement ou complètement masqué. Il est le fil conducteur de l'œuvre ; un fil conducteur que l'on discerne à peine au début mais qui se dévoile de plus en plus vers la fin de la symphonie pour former le finale en apothéose où l'orchestre d'harmonie prend toute la majesté d'un grand orgue. (souce : livret) Enregistrement : type de formation : Enregistrement pour Orchestre d'harmonie Durée : 00:14:33 Référence éditeur : DHR04.012-3 Permalink : https://www.windmusic.org/index.php?lvl=notice_display&id=66667 Sinfonia Hungarica : 3. Istvan = Symphonie hongroise : 3. Istvan [Oeuvre sur CD] / Jan ROOST (VAN DER) (1956-), Compositeur ; Alex SCHILLINGS (1957-), Chef d'orchestre . - [s.d.] . - 1 plage.
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MUSIQUE A PROGRAMME
OEUVRE ORIGINALE
SYMPHONIERésumé : Cette symphonie en trois mouvements relate l'histoire de la Hongrie. L'ensemble des trois mouvements s'inspire de la vie de personnages historiques clés, de guerres et d'autres évènements de grande importance qui ont marqué l'histoire de ce pays. Sinfonia Hungarica célèbre le millénaire de la fondation de l'état hongrois (1001-2001). L'œuvre a été donnée en création mondiale le 31 mars 2001 à Budapest par l'orchestre d'harmonie de Kiskunfélegyhaza placé sous la direction du compositeur. ATTILA, roi des Huns, surnommé fléau de Dieu est la personnage central du premier mouvement où règne un atmosphère de peur, de menace, d'agression et de cruauté. Buda, le frère d'Attila, est associé à un thème aux accents plus héroîques, tandis que Rika, l'épouse bien-aimée du roi des Huns, est représentée par une mélodie lyrique. La fin trépidente de ce mouvement d'ouverture illustre l'effroyable rapidité avec laquelle les troupes d'Attila poursuivaient et tuaient toutes leurs victimes. Le deuxième mouvement est centré sur ARPAD, le fondateur de l'état hongrois. Un pasage limpide et aérien ouvre ce mouvement évoquant Emese, la grand-mère d'Arpad, qui vit en rêve sa destinée future. Après avoir livré bataille contre l'un de ses opposants, le prince bulgare Zalan, et l'avoir chassé des terres magyares, Arpad donne officiellement au territoire le nom de Magyarorszag. Le troisième et dernier mouvement de la symphonie porte le nom de celui qui convertit le pays au christianisme : Etienne Ier (ISTVAN), sacré Roi de Hongrie le 1er janvier 1001 par le Pape Sylvestre II. Les mesures d'ouverture, solennelles et majestueuses, mènent à un passage dont l'atmosphère belliqueuse s'intensifie pour s'achever en de violents fracas symbolisant la mort atroce de Koppany, un paîen, dont le corps fut découpé enquattre parties expédiées aux quatre coins du pays pour servir d'exemple. Un intermezzo serein, presque religieux, laisse ensuite la place à l'hymne national de la Hongrie. Ce finale grandiose aux sonorités amples possède également une signification symbolique : après ces dix siècles d'histoire, la Hongrie a de nombreuses raisons de contempler son passé avec fièrté et d'envisager l'avenir avec confiance et optimisme. Le superbe thème de l'hymne national apparait en fait tout au long de la symphonie, souvent partiellement ou complètement masqué. Il est le fil conducteur de l'œuvre ; un fil conducteur que l'on discerne à peine au début mais qui se dévoile de plus en plus vers la fin de la symphonie pour former le finale en apothéose où l'orchestre d'harmonie prend toute la majesté d'un grand orgue. (souce : livret) Enregistrement : type de formation : Enregistrement pour Orchestre d'harmonie Durée : 00:14:33 Référence éditeur : DHR04.012-3 Permalink : https://www.windmusic.org/index.php?lvl=notice_display&id=66667 Singapura suite / ROOST (VAN DER), Jan (1956-)
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Titre : Singapura suite Type de document : Oeuvre sur CD Auteurs : Jan ROOST (VAN DER) (1956-), Compositeur ; Justinas JONUSAS, Chef d'orchestre Orchestre : Orchestre d'harmonie ; 1 Importance : 2 plages Mots-clés : ASIE
CHANT DE MARIN
MUSIQUE A PROGRAMME
MUSIQUE POPULAIRE
SUITERésumé : Commande du Bureau des Activités Extrascolaires du Ministère de l'Education de Singapour, Singapura Suite a été un des morceaux imposés de l'édition 1999 du Festival des Jeunes de Singapour. Singapura (du sanskrit 'simha', lion et 'pur', ville) est la dénomination d'origine de la ville en malais, langue maternelles des habitants de Singapour. Singapour possède l'un des plus grands ports maritimes au monde. Il était naturel de débuter cette suite en deux mouvements par un air de danse - La danse des Marins - sur lequel vient se greffer en partie centrale, une mélodie traditionnelle 'Chan Mali Chan'. La forme A-B-A se révèle dans la reprise du thème initial quelque peu modifié à la fin de ce premier mouvement. Singapour, ville-état, dynamique et animée, transmet ses caractéristiques au deuxième mouvement de l'œuvre? En ouverture une bourrée très enlevée contraste avec un autre traditionnel, Dayung Sampan (chant des marins) au mouvement plus apaisé. Cette suite courte mais étonnante se termine dans l'allégresse par une reprise du début de l'œuvre. Note de contenu : 1. Part I
2. Part IIEnregistrement : type de formation : Enregistrement pour Orchestre d'harmonie Durée : 00:08:14 Référence éditeur : DHR10.014-3 Permalink : https://www.windmusic.org/index.php?lvl=notice_display&id=65846 Singapura suite [Oeuvre sur CD] / Jan ROOST (VAN DER) (1956-), Compositeur ; Justinas JONUSAS, Chef d'orchestre . - [s.d.] . - 2 plages.
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Mots-clés : ASIE
CHANT DE MARIN
MUSIQUE A PROGRAMME
MUSIQUE POPULAIRE
SUITERésumé : Commande du Bureau des Activités Extrascolaires du Ministère de l'Education de Singapour, Singapura Suite a été un des morceaux imposés de l'édition 1999 du Festival des Jeunes de Singapour. Singapura (du sanskrit 'simha', lion et 'pur', ville) est la dénomination d'origine de la ville en malais, langue maternelles des habitants de Singapour. Singapour possède l'un des plus grands ports maritimes au monde. Il était naturel de débuter cette suite en deux mouvements par un air de danse - La danse des Marins - sur lequel vient se greffer en partie centrale, une mélodie traditionnelle 'Chan Mali Chan'. La forme A-B-A se révèle dans la reprise du thème initial quelque peu modifié à la fin de ce premier mouvement. Singapour, ville-état, dynamique et animée, transmet ses caractéristiques au deuxième mouvement de l'œuvre? En ouverture une bourrée très enlevée contraste avec un autre traditionnel, Dayung Sampan (chant des marins) au mouvement plus apaisé. Cette suite courte mais étonnante se termine dans l'allégresse par une reprise du début de l'œuvre. Note de contenu : 1. Part I
2. Part IIEnregistrement : type de formation : Enregistrement pour Orchestre d'harmonie Durée : 00:08:14 Référence éditeur : DHR10.014-3 Permalink : https://www.windmusic.org/index.php?lvl=notice_display&id=65846 Skies / WAESPI, Oliver (1971)
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Titre : Skies Titre traduit : Cieux Type de document : Oeuvre sur CD Auteurs : Oliver WAESPI (1971), Compositeur ; Josef GNOS (1945-), Chef d'orchestre Orchestre : Orchestre d'harmonie ; 1 Importance : 1 plage Mots-clés : 21E SIECLE
MUSIQUE A PROGRAMME
OEUVRE ORIGINALEEnregistrement : type de formation : Enregistrement pour Orchestre d'harmonie Durée : 00:18:20 Référence éditeur : AMOS5950 Permalink : https://www.windmusic.org/index.php?lvl=notice_display&id=68174 Skies = Cieux [Oeuvre sur CD] / Oliver WAESPI (1971), Compositeur ; Josef GNOS (1945-), Chef d'orchestre . - [s.d.] . - 1 plage.
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Mots-clés : 21E SIECLE
MUSIQUE A PROGRAMME
OEUVRE ORIGINALEEnregistrement : type de formation : Enregistrement pour Orchestre d'harmonie Durée : 00:18:20 Référence éditeur : AMOS5950 Permalink : https://www.windmusic.org/index.php?lvl=notice_display&id=68174 Song of the Eternal : Tone Poem / CONDON, Leslie (1928-1983)
PermalinkSonoran Desert Holiday / NELSON, Ron (1929)
PermalinkSpartacus : Symphonic tone poem / ROOST (VAN DER), Jan (1956-)
PermalinkSpartacus : Symphonic tone poem / ROOST (VAN DER), Jan (1956-)
PermalinkSpartacus symphonic tone poeme / ROOST (VAN DER), Jan (1956-)
PermalinkSymphonic Metamorphosis on themes of Carl Maria von Weber / HINDEMITH, Paul (1895-1963)
PermalinkSymphonic Poem - Les Préludes / LISZT, Franz (1811-1886)
PermalinkSymphonie Fantastique : Op. 14 / BERLIOZ, Hector (1803-1869)
PermalinkTales of a traveler / SOUSA, John Philip (1854-1932)
PermalinkThe castle of Bray / VLAK, Kees (1938)
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